Ta caresse éphémère dénudé de réalité
Alimente cet espoir d’une éternelle fictivité
Et sans que sa griffe ne soit encore sortit
Tu pleures et trébuches dans cette descente infini.
Tu marches les yeux fermés car il n’y aura rien à voir
Et il ne sert à rien de continuer à y croire
Ca n’sert à rien d’encore s’accrocher à la vie
Et de revoir l’eternel soleil disparaître ainsi
Ca n’sert à rien d’encore s’accrocher à la vie,
Ca n’sert à rien…
Il n’y a plus qu’à éteindre l’irréel idéal
Qui aura trahit la vérité et les folles rafales
Qui ont rongé la triste création de ton Dieu.
La rage t’a atteinte et en toi restera mon pieux.